Bonjour à tous !!
Un petit article pour vous dire de pas hésiter à laisser des commentaires sur les divers articles.
Je prendrais le soin d'y répondre !
A+
Oliv
Bonjour à tous !!
Un petit article pour vous dire de pas hésiter à laisser des commentaires sur les divers articles.
Je prendrais le soin d'y répondre !
A+
Oliv
Bon, je vous passe le blabla avec le gars de chez 44Avenue (Concess Yam, Ktm et Aprilia)
Je suis donc aller faire un tour sur ce twin pas triste du tout. J'ai pas vraiment prévu de changer mon 800, mais je voulais voir un peu les autres bicylindres du marché.
Prise en main
Premiere impression : Oula c'est du bois cette selle ! Puis, le réservoir. Il est plutôt carré au niveau de l'entre jambe et ça déconcerte 10s.
La position est tout de même confortable et bien droite comme sur tout bon roadster qui se respect. L'inclinaison des pots veut que les talons viennent s'appuyer dessus, mais des protections sont là pour pas cramer de la semelle.
Un autre petit détail agaçant, les clignos et le klaxon sont inversé, donc quasiment à chaque rond-point je klaxonnais les boites à roues au lieu de mettre les clicos !
En route
Je me suis trouvé un petit trajet sympa et maintenant je fais toujours le même avec les brêles d'éssais.
Le compteur est complet, il y a des boutons sur les comodos pour changer l'affichage, mais je me suis pas attardé sur ce sujet. On retrouve un compte tour analogique à gauche et un ecran lcd à droite. Indiquant la vitesse / les km parcouru / la Température ...
Un voyant indique aussi la présence de la béquille ?? Je vois pas bien l'intérêt vu que le coup circuit agit si un vitesse est engagé lorsque celle ci est sortie.
Equipée d'étriers de freins radiaux je commence tout d'abord par testé le freinage, histoire de pas être surpris. Ca freine très fort, sans violence. Pour comparé,Sur le S4Rs si vous fait plus que d'éfleurer le levier vous vous retrouvez le nez dans le pare-brise ! Ici pas d'appréhension, la course est progressive et ultra efficace.
La sensation d'être assis sur une planche en bois a completement disparu, les suspension gomment bien les imperfections de la route et la moto est toujours saine. Le grand guidon permet de lui forcer un peu la main pour suivre la trajectoire, et elle se replace nickel.
Je suis surpris par le bruit du moteur, je pensais trouver une moto assez sage, et bien non, le moulin est bien présent, d'ailleurs un peu trop à mon gout. Il siffle fort, mais les échappements d'origine ne laissent pas sortir les grognements caractéristiques des twins. (pour ceux qui connaisse Jean-Yves est sa RSV1000 + 2 akra me comprendront)
Agrément de conduite
Premier constat, le moteur n'est pas souple. En dessous de 3500tr ça broute pas mal, j'imagine même pas dans les bouchons.
Deuxième point, ça envoi fort, mais c'est pas fran. Je m'explique, en roulant sur le couple pas de souci, le feeling de la poigné de gaz va bien. Par contre le bridage est effectué au niveau de la poigné de d'accélerateur. Et on se retrouve avec une poignée à tirage rapide, genre ON/OFF.
Vous vissez la poignée et vous vous retrouver déjà en butté, par contre le moteur n'est qu'a 5000tr et va prendre 5000tr de plus dans la seconde suivante ! Difficile de gerer la courbe de puissance avec une cource de gaz si faible !! A voir en version libre ???
En terme de protection je ne donnerai pas d'avis, car sur mon trajet j'ai pas passé la 5eme. La petite pointe à 130/140 a faillit arracher mon casque, mais j'ai le même probleme sur la ducati. Il existe un saut de vent un poil plus haut...à voir à l'usage.
Caractéristiques techniques
Bilan
Les moins :
Les plus :
Je l'ai trouvé tout à fait à la hauteur de mais exigence, plus sage qu'un S4Rs, moins rugueuse qu'un 1000Mostro, et évidement 1 000fois mieux qu'un SV1000.
Apès cette essai j'étais toujours aussi content de remonter sur ma mob. Ce sera pas sa remplaçante ça c'est sur.
Un "beau" matin de février j'arrive à la concession Ducati.
- « Salut Hugo ! »
- « Salut Oliv, ça va ? »
- « Ouep ! Dis moi, tu aurais un 1000DS disponible pour un essai ? »
Le 1000DS, c’est le 1000cc deux soupapes Dual Spark (2 bougies par cylindre) Ce moteur est monté sur les S2R1000, le 1000SS qui disparaît du catalogue pour laisser la place à la série des Sport Classique.
Donc c’est dans un Sport 1000 monoposto que je vais essayer ce fabuleux moteur.
J’ai de la chance, elle est équipé de sorties Termignoni nettement plus esthétique que la ferraille vendu d’origine.
Le premier km est déstabilisant, guidon bracelet, embrayage à sec. Là ou je descend un rapport sans réfléchir sur mon 800, ici je me suis fait avoir et bloqué la roue arrière.
(Ce n’est qu’après l’essai que Cyril m’expliquera qu’il faut donner un coup de gaz avant de relâcher le levier gauche)
Le réservoir un peu trop large au niveau de la selle, n’aide pas à faire corps.Et mes genoux ont du mal à serrer la belle. La selle, comme beaucoup de moto, est trop longue et lorsque l’on enroule l’accélérateur on a tendance à glisser.
A bas régime je profite pleinement de la sonorité des Termi mais dans le bourg d’Orvault l’appuis sur les poignets est fatiguant. L’enchaînement dans les virages à basse vitesse n’arrange rien. Par contre le chassi et le poids du corps sur l’avant sont parfaits quand la route serpente.
Le rythme s’accélère, 80, 90, 100km/h, le vent fait son effet et le buste est porté. La position en devient confortable. (Cafer-racer / Ducati / Confortable… Etonnant )
Je fais ma boucle habituel lors de mes essais mais me fait surprendre par une bosse ! Me voilà parti en guidonnage ! Le premier, que faire ! Je coupe les gaz. La roue avant se stabilise ! Je ré-ouvre en grand pour oublier se mauvais moment. Avec un cadre moins rigide je sais pas si je serai pas aller compter les pâquerettes ! OUF !
Les accélérations du 1000DS (parlons de lui tout de même) sont franche et prend des tr/mi, rapidement. Le couple est bien présent et c’est le pied. Evidement il est moins souple que le 800cc et commence à cogner en dessous de 4000tr/min si on est sur le mauvais rapport.
De retour au Ducati Store, je suis bien, au guidon de se cafer-racer moderne. Il y a pas à dire, cette machine c’est 100% frime et je cherche des vitrines de magasin pour pouvoir m’admirer !! J’adore l’esprit retro de ce genre de brèle et quand j’y retrouve la rugosité de ma chère Italienne je suis conquis.
En repartant en mostro, j’ai eu la sensation d’être sur une Jap’ . Embrayage de garçon coiffeur, moteur fade…..HEIN ! QUOI ? Fade mon 800 !! Non, non, non coupleux et poualu à souhait.
J’étais venu tester le 1000DS, et me suis plutôt pris pour Guido Brasletti ! TROP BON !
Plus qu’a revenir dans 1 mois pour la 1098
Je remerci tout d'abord HANS, l'heureux propriétaire de l'engin pour le petit tour sur cette machine !
Beaucoup se demande surement à quoi ça ressemble un 3.60 ??
Donc commençons par les présentations :
Il s'agit d'un bi-cylindre paralèlle 4T sortie avant 1977.
La bête se démarre au kick (le demarreur bien qu'éxistant est très très capricieux) et après plusieurs coups infructueux le twin s'ébroue. Il n'y a pas trop de compression donc pas trop dure à démarrer, à part si vous vous y reprenez comme moi 20 fois, on attrappe vite une petite suée !
On m'avait prévenu que l'embrayage était dure, mais descendant de la ducat' je n'avais aucune appréhension. Et bien je n'était qu'au début de la galère.
Car effectivement, le levier d'embrayage est un vrai supplice. Tellement dure qu'il n'est pas facille de partir en premiere. Je me retrouve donc dans la descente, à démarrer à la poussette en 2nd !!
Une fois lancé les rapports passent facilement, la position de conduites est confortable, le guidon est large et la selle moelleuse.
Mon petit circuit en ville ne m'a pas permis de tester la conduites à "haute" vitesse, mais le petit moulin est tout de même bien présent et nerveux.
Au retrogradage on apprécie le couple pour assister le disque avant (qui freine très bien) On essait surtout de pas avoir a repasser au point mort, car ce foutu levier est bien dure, et redemarrer en 1ere oblige à faire patiner plus que de raison l'embrayage.
Je pense qu'une fois le levier gauche assoupli, cette moto est parfaite pour battre la campagne à un rythme acceptable (90/100km/h) en plus on s'imaginerai presque à vouloir passer voir Ed', Guido, Manchzeck et Jean Raoul à la terrasse du bar de Joe....... GAZZZZZZZZZZ
Voilà, je dédis ce petit essai à tout les pationnés de vieilles et attachantes mécaniques !
L'aventure n'est pas recente, mais elle a sa place dans la section "mécanique" !!
Voici donc comment je suis arrivé à reparrer ma satanée 306 sans trop d'énervement et sans dépenser beaucoup d'argent.
D'abord je vous presente le coupable :
L'agrafe : Il s'agit du bout de plastique qui retient mon cable d'embrayage ma pédale.
:bah: oui, ça va marcher beaucoup moins bien ainsi !
Ayant trouvé cette "agrafe" sous mon pedalier, jhe me suis dis que le problème semblait venir de là. Je me suis donc rendu chez Peugeot pour me procuré cette fixation de cable.
Très sympa, mais pas pressé cher Peugeot, il me dégotte la pièce sur son PC. Et me dit :
- "dommage que vous ayez pas une 405, car il faut changer tout le câble sur les 306 ! "
- GLOUPS "Et combien va me couter cette belle pièce ?"
- "Euh, 47€ ttc !"
- "Vous trouvez pas ça un peu cher les 3g de plastique !!! Vous savez pas si ça existe au détail ?"
Le gars m'indique un détaillant multi-marque !
Rendu là-bas, la conclusion est la meme, il faut le cable en entier. Par contre les pieces adaptables sont moins cher, 24€ chez AD !!
J'achète rien, mais je rentre voir quelle tete a ce foutu cable !
Observation / réflexion ! Depose de la batterie et de son support pour acceder au cable. 1, 2, 3 le voilà sortie !
Je rappele AD pour commander le cable. Je l'aurait le lendemain à 10h30.
Le vieux sans agrafe et le nouveau
Reste plus qu'a remonter tout cela !
Je positionne le cable dans ses butés. Une fixe, sur la boite. Et l'autre c'est le levier d'embrayage lui meme sur la boite !
Je glisse l'agrafe par le petit trou qui communique avec l'habitacle. Il est juste sous le servo-frein !
Capot :
Habitacle : c'est pas très accessible, mais l'agrafe se fixe facilement si vous laisser assez de mou !
Je sais on voit rien, juste le demi cercle en blanc c'est le trou !
Le plus galère c'est de mettre correctement en place les caoutchoucs des butées, car si les vieux sont sorti tous seuls, les neufs sont plus dur à inserer.
Pour pouvoir raccorder l'agrafe à la pédale, il a fallu que je dessers au max la buté de réglage, donc il faut retendre tout cela, pour que la pédale actionne bien l'embrayage. En tendant juste le cable, je suis tombé sur le bon réglage. Un coup de chance peut etre !
Pour finir on remonte tout, sans oublier une seule vis, ou un collier.
Le tour du quartier m'a permi de tester mes compétences en mécanique !
Donc, en 1h30 max et pour 24€, je m'en sors pas mal. Car il faut savoir que la voiture ne peut pas etre déplacé, donc faire appel à une dépanneuse m'aurait couté très cher !!
Après avoir longtemps hésiter à revendre ma béquille de stand, je l'ai adapter pour qu'elle soit utilisable sur le monobras de mon mostro !
Car pour pas mal de truc c'est bien pratique de pouvoir maintenir sa moto autrement que pas le viais de la béquille latérale.
Par exemple:
J'arrete tout de suite le blabla, voici quelques images qui parlent d'elle même :
Un bout de tube de chauffage de 15/21 coupé à la bonne longueur, et voilà le résultat :
Il faut prendre le coup pour installer ce montage, mais ça fait maintenat 2 ans que je l'utilise, et la moto ne m'a jamais échappé des mains lors de l'installation de la béquille.
La morale de l'histoire est que j'ai bien fait de pas revendre ma béquille et de claquer 120€ dans un modele spécifique !!
Par contre, il est impossible de démonter la roue. En même temps je sais pas si ça vous arrive souvent. Et oui, je sais que la plaque est fixé de travers ;)
Installation de guidons bracelets
Je vous propose un petit tutorial sur la pose de guidons bracelets.
Etape 1
Déposer les éléments gênants :
Etape 2
Dépose du T supérieur
Etape 3
Glisser les bracelets !!
Etape 4
Remontage !!
Remontage suite
On voit l'éccart de position entre les deux guidons !
Voilà, moi j’attends que la route sèche pour aller faire mon premier tour sur mon mostro Café-racer !!
J'ai trouvé des cabochons blancs pour cacher les trous des pontets dans le T supérieur.
Sinon, depuis j'ai roulé et la position n'est vraiment pas fatiguante (j'en suis étonné) En même temps je n'ai pas trop incliné les poignée (donc j'ai pas les poignets cassés)
De retour de notre voyage au Méxique (17j) je mets une galerie avec les VW croisées là-bas !!
Mise en ligne de deux galeries supplémentaires !
Samedi matin pluvieux
Je me decide enfin à crer un blog. Rassurez vous c'est pas pour racconter ma vie (enfin pas toujours) mais plutôt pour vous faire partager mon univers (c'est un bien grand mot !)
Et voilà, c'était pas si dure, reste à voir si je pourrai faire ici tout ce dont j'ai envie.
A++